Le cancer du poumon est une maladie redoutée qui survient malheureusement souvent. Malgré le traitement, les perspectives de guérison sont maigres. Les facteurs de risque sont connus : la cigarette, l’inhalation de substances toxiques, comme l’amiante, la fumée et autres particules chimiques, et la pollution de l’air.
La prévention constitue donc la principale stratégie. Après le diagnostic et le traitement, il convient d’éviter les rechutes et de survivre aussi longtemps que possible.

À cet égard, plusieurs études ont soulevé un point intéressant :
- De nombreux patients atteints d’un cancer présentent un mauvais profil alimentaire. Selon une étude menée en 2014, il s’agit en moyenne de 39 % des patients et de 45,3 % en cas de cancer du poumon. Ce pourcentage est encore plus élevé après la chimiothérapie et en cas de métastases. En conclusion : plus le diagnostic est mauvais, plus le profil alimentaire l’est aussi. En outre, plus la carence en nutriments essentiels est importante, plus le risque de décès est élevé.
- Chez les patients présentant un bon profil alimentaire, la durée de la « progression de la tumeur » est plus longue. Ces derniers enregistrent également de bien meilleures performances dans tous les domaines (cognitif, physique, émotionnel) et sont socialement plus actifs.
- La consommation de légumes et de fruits peut sensiblement réduire le risque de cancer du poumon chez les (anciens) fumeurs : entre 3 à 5 % pour 100 grammes par jour.

En conclusion, le profil alimentaire joue un rôle essentiel.

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