Les agonistes du récepteur au GLP1 ont été mis au point pour prévenir les complications du diabète, mais ils ont fait l’objet d’un battage médiatique en tant que médicaments amaigrissants. L’utilisation hors étiquette de ces médicaments (tout de même coûteux) est montée en flèche. Les entreprises qui les produisent engrangent des bénéfices colossaux…
En outre, ces médicaments doivent être pris à vie, car après leur arrêt, la plupart des kilos sont repris dans l’année qui suit.
Malgré les nombreux effets secondaires, souvent graves, ces produits étaient déjà autorisés pour les enfants aux États-Unis…

Une étude a examiné le risque de complications « dangereuses » par rapport à d’autres pilules amaigrissantes (qui ne sont pas non plus inoffensives) :
– 9 fois plus de risque de pancréatite
– 4 fois plus de risque d’obstruction intestinale
– 3 fois plus de risque de gastroparésie (paralysie de l’estomac)
– Risque accru de tumeurs thyroïdiennes, de dépression et de pensées suicidaires, etc.

Autre rapport inquiétant : des cas de vomissements massifs pendant l’anesthésie – malgré un jeûne préalable – avec aspiration pulmonaire (corps étrangers dans les poumons. La pneumonie d’aspiration est une complication très dangereuse, potentiellement mortelle).

Le « sonneur d’alerte » pharmaceutique Calley Means : « 95 % de la sérotonine, qui procure un sentiment de bonheur et de satisfaction, est produite dans l’intestin. L’Ozempic agit de la même manière qu’un dysfonctionnement intestinal. D’un point de vue médical, ce médicament est une catastrophe absolue. »

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